Donovan Densetsu

► Prénom : Donovan.

► Nom : Densetsu

► Âge : Quinzaine

► Race : Ange

► (Ancienne) Nationalité : Japonaise, même si son prénom n'est pas de cette origine.

► Orientation sexuelle : Hétéro. ( J'voulais marquer Angélique mais j'sais pas si ça passait :$)

NOM DU POUVOIR :

Shield of light

DESCRIPTION DU POUVOIR :

Le pouvoir de Donovan est créé par la lumière, logique, vu que c’est un ange. Le principe est que Donovan doive se concentrés pour re-diriger de la lumière, ou bien en créer, de façon à ce que celle-ci soit autour de lui, comme créant un dôme. De cette façon, tout projectile ou personne voulant y pénétrer sans l’autorisation de Donovan se verra repoussée ou expulser de façon plus ou moins brutale en fonction de la maîtrise qu’aura Donovan à ce moment là. J’avais aussi pensé à une sorte de soin qui sera effectué dans la zone mais je pense que je le débloquerai plus tard, si je peux l’intégrer avec. Pour la lumière qui brule les barreaux, comme dit dans l’histoire, je ne l’utiliserai pas, c’était quelque chose qu’à fait mon perso de façon involontaire, je le débloquerais donc plus tard, ou pas du tout. ( Voilà voilà, je suis pas bon pour se genre de description.. )
Le pouvoir de Donovan n'est pas sans répercutions. Ce dernier peut "absorber" les attaques pendant une durée de 30 secondes à partir du moment où il est lancé, et dès cela finit, il ressort avec un mal de crâne, mal de crâne qui s'amplifie en fonction de la puissance ( plus l'attaque absorbée est forte, plus le mal de crâne l'est) de même si il accumule beaucoup de petites attaques.

Attention, vous devez faire au moins 7 lignes ! Vous devez expliquer comment votre personnage l'utilise, quels sont ses inconvénients, quels sont ses avantages, quand est-ce qu'il a l'occasion de l'utiliser... Il faut que son pouvoir corresponde un minimum à sa race (ex : un démon n'aura en général pas de pouvoir de lumière divine, un hybride baleine ne sera jamais immunisé face à l'électricité.)

Description physique
(Avant tout je tiens à m'excuser parce que je suis pas bon pour les descriptions physiques/morales et pouvoir des persos, j'ai jamais été bon dans ça mais  je me rattrape dans l'histoire normalement x'D )

Donovan est un jeune homme d’une quinzaine d’année, et son physique ne lui en donne pas moins, pas plus. Juste le nombre parfait. qu’il fait. Il mesure entre le mètre soixante dix et le mètre quatre vingt. Peut être bien un mètre soixante dix-sept. C’est un homme de corpulence normale, bien qu’il a un plus petit penchant vers le maigrichon, mais il reste musclé, donc ça rattrape. A cause de ces tortures, il a perdu la couleur de ses cheveux qui est devenue blanche, a cause des tortures, où du fait qu’il est devenu un ange ? Il ne sait pas vraiment. Il sait simplement que ses yeux ont suivis la marche, eux aussi blancs comme neige. Il possède des bras et des jambes qui ne sont pas disproportionnés, avec une taille bien répartie partout. La plupart du temps, il a une démarche droite, bien que, pendant qu’il réfléchit, son dos est voûté. Pourquoi ? On ne sait pas. Il s’assoit aussi d’une façon bizarre lorsqu’il réfléchit, sur les pied et les fesses.  


Décris ici physiquement ton personnage. Un minimum de 8 lignes est imposé. Indique la couleur de ses cheveux, de ses yeux, sa corpulence, sa taille, son poids, ses attributs de race...

Description mentale

Naturellement, Donovan est quelqu’un de gentil et aimable, qui va toujours faire passer les autres en premier, et les aider. Mais il ne faut pas oublier que Donovan a subit de nombreux traumatismes au cours de sa vie, et de son début, surtout. Le meurtre de ses parents, avant tout, l’a choqué pour le restant de ses jours, tuées à coups de seringues, il développe maintenant une peur bleue de celles-ci. Quand il voit une seringue, il risque de devenir incontrôlable. Sur le point de vue amical, c’est quelqu’un de très protecteur et qui s’attache vite, n’ayant pas eu de bon amis au cours  de sa vie. Il donnerait bien plus que sa vie pour sauver celle de ses amis. C’est quelqu’un de très renfermé sur son passé et qui n’aime pas parler de lui. Socialement parlant, c’est quelqu’un qui aime aller vers les autres et faire de nouvelles rencontres. En termes d’amour, il se sent pousser des ailes… ( MDR JE DEVAIS LE FAIRE. )



Décris ici le caractère de ton personnage. Est-il gentil ? Méchant ? Fleur bleue ou brutal ? Extraverti, introverti ? Décris aussi ses goûts et ce qu'il pense des gens supposés être plus hauts que lui hiérarchiquement. Comment se comporte-t-il en cours ? Comment se comporte-t-il tout court ? Minimum 8 lignes.

L'histoire

Donovan est un jeune garçon issue d’une famille connue pour son intelligence. Ses parents, alors que sa mère était enceinte de lui, avaient décidés de rejoindre une communauté qui avait créé un village en bordure du Japon, village qui avait pour but de vivre dans la paix. Les dirigeants du village avaient récemment construit une sorte de mini hôpital. Ces parents y travaillaient depuis maintenant une année, et les récents blessés faisaient de plus en plus peur. Blessés par balle, des coups de poignards. La paix semblait être rompue dans ce petit village.

Le garçon était là, assis sur une chaise douillette, dans la salle d’attente. Ingénieux, cette salle d’attente. Elle était confortable, il y avait toutes sortes de chaises, même des chaises roulantes. Ils avaient vraiment pensé à tout. Le garçon avait un sourire jusqu’aux oreilles. Dans deux jours, c’était le réveillon. Donovan était assis avec son chien à ses côtés, observant la neige recouvrir, centimètres par centimètres, tout ce qui n’était pas déjà blanc. Dans quelques jours, le père noël passera. Tout ce qu’il a à faire, c’était rester assis sur cette chaise sagement, que lui avait dit ses parents. “Ne bouge pas, nous avons quelque chose d’important à faire !” avait crié sa mère, paniquée. Mais le garçon savait que ce n’était pas grave, car ces parents sont les plus forts du monde. Personne ne peut leur faire de mal. L’enfant se leva et se dirigea vers les toilettes. Il s’engagea sur un long couloir blanc, avec au moins cinq portes du côté droit, pour seulement trois du côté gauche. Sur chacune était inscrit un certain mot, sur la première porte à gauche était inscrit “Morgue” c’était là ou étaient entrés ses parents. Le garçon n’avait pas le droit d’entrer, il le savait. Il tourna la tête vers la droite, c’était les toilettes. Il essaya de tirer la porte et dut luter fort pour réussir à l’ouvrir. Après tout, il n’avait que sept ans, sa force n’était pas développée.

Donovan entra dans ses toilettes, suivi de près par le chien, qui s’assit en face de la porte, comme protégeant l’entrée. Le garçon sortit une minute plus tard et se dirigea vers les éviers, pour se laver les mains. Et c’est là que tout changea. La porte principale s’ouvrit, le bruit de cloche habituel le prévint. C’était au moins trois hommes qui entraient. Des nouveaux médecins ? Qu’importe ?  Il était dans les toilettes, en train de se laver les mains. Rien de dangereux ne pouvait se passer dans ce petit village paisible, lui répétait ses parents. Ses parents savent se défendre, personne ne peut leur faire de mal. Une porte s’ouvrit, près de sa position, l’enfant le sentit. Il décida alors de sortir des toilettes. Au même moment, des bruits retentirent. Comme si quelque chose rentrait dans de la chair et en ressortait dans le même temps, comme si.. quelque chose d’effroyable se passait. Son chien commença à aboyer a n’en plus pouvoir. Le garçon poussa la porte de toute ses forces pour voir ce qu’il se passait. Rien. Il ne voyait rien. La porte “Morgue” était toujours fermée. Le garçon toqua timidement à la porte. Rien. Il posa alors sa petite main frêle sur la poignée, la tourna, doucement, timidement, avec le peu de force qu’il avait, et il entendit un déclic. La porte était ouverte. Il ramena son bras contre lui pour ouvrir la porte quand un liquide pénétra ses chaussures, imbibant ses chaussettes et trempant ses pieds. Le garçon abaissa le regard et aperçut ce liquide rouge, présent sur chacune des parcelles de la pièces. De son regard effrayé, le garçon épiais la scène.

Il pouvait apercevoir, d’ici, deux corps. Il n’était pas assez près pour les identifier, mais au fond de son coeur il savait. Il s’approcha, il devait savoir, il devait être sûr. Donovan, à pas lents se rapprocha de ces corps, il approchait sur la pointe des pieds, mais il s'effondra au sol. C’était bel et bien ces parents, transpercés de milles petits trous de seringues. Le garçon recula, horrifié, dans un coin de la pièce, ramenant ses jambes contre lui pour y fourrer la tête, il entoura ses jambes de ses bras et les serra contre lui. Ce n’était pas possible. Ce n’était pas eux. Ses yeux se troublèrent et devinrent humides. Des larmes commençait à tomber de ses yeux, tout d’abord une par une, silencieusement, puis très rapidement, il éclata en sanglots, tandis que ces larmes coulèrent à flot. Les premières personnes ne tardèrent pas à arriver en compagnie du chien -qui a du aller les chercher - pour observer la scène qui se déroulait, d’autant plus horrifié.

Le garçon avait été “repêché” par un homme asiatique. Il avait d’abord fait un voyage en voiture, et maintenant il était au commissariat du petit village. Jamais il n’avait quitté sa position latérale de sécurité. Jamais il n’avait bougé par lui même. Toujours, cet homme le portait. Ce qui semblait être le policier le harcelait de questions, lui disait qu’il avait forcément vu quelque chose, qu’il le devait. Et Donovan ne répondait rien. Assis en boule dans le coin de la pièce, la tête coincée entre ses jambes, le regard vide, il ressemblait à une victime sans défense, sans famille. Et c’était le cas. Le garçon fermait les yeux désormais, il avait son visage bloqué entre ses jambes, recroquevillé. D’un coup, et c’était le cas de le dire, le même bruit que dans l’hôpital retentit. Cette fois ci, il entendit un cri. Dans la même pièce. Celui du policier. Le garçon décida de relever la tête, il put apercevoir trois personnes en blouses blanches, mais pas leurs visages. Un d’eux s’approcha de lui, et puis plus rien. Le noir total. Le vide.

Quand Donovan reprit ses esprits, il était dans l’obscurité. Il sentait du froid contre son dos nu. Il était torse nu désormais. Il regardait autour de lui, perdu. En plissant les yeux, il pouvait apercevoir d’autre cages, pleins de cages. Avec pleins d’enfants, balayant la pièce du regard, il se rendit compte que le seul endroit un tant soit peut éclairé était une table d’opération, qui croupissait sous les docteurs, comme dans une opération. Un docteur s’écarta de la table, puis deux, puis trois.. Enfin, tous s’étaient écartés, laissant une vision sur le patient. Mort. Alors, un des docteurs se tourna vers Donovan, seringue a la main. Le garçon se propulsa contre le coin de sa cage, se recroquevilla, marmonnant des supplications. Il ferma les yeux. Rien ne se passait. Un bruit de fer retentit et une main robuste lui attrapa le pied et le traina sur le sol, éraflant son visage. Il se fit porter et poser sur une table. La table d’opération. Dès lors, il s’évanouit.
Quand il se réveilla, il était fatigué, et ressentait des douleurs dans son crâne et dans son dos, c’était un véritable cauchemar pour le garçon.

Voilà maintenant plusieurs années que le garçon était ici. Subissant opération après opérations, surmontant douleurs après douleurs, le garçon s’endurcissait physiquement mais restait le petit garçon apeuré et terrorisé. Il avait maintenant quinze ans. Il s’était fait des amis dans cette pièce, ou plutôt des “compagnons de cellule “ pour le coup.. Il me parlait de ce qu’il a vu ici, des gens transformés en bêtes ailés, comme des anges ou des démons. Donovan ne savait pas déceler la vérité, mais quelque chose n’était pas sûr ici. Le garçon se demandait quel temps il faisait dehors. Si l’ont était en été ou en hiver. Il était perdu. Il avait peur. cette vie n’était plus possible.. Ces verrous se déverrouillèrent. Une main l’agrippa, le garçon se jetait en arrière pour retourner dans sa cage, beuglant d’un air misérable. Il finit, comme à chaque fois, par s’évanouir.
Sauf que cette fois, ce n’était pas pareil. La douleur le réveilla en pleine opération. Il pouvait sentir le vent s’introduire dans son corps, comme si son dos était ouvert, il criait, hurlait, pleurait. Il ne pouvait pas bouger. Il se promit alors, en cet instant, qu’il ne souffrirait plus. Il ferma les yeux et s’en alla dans un comas.

Il se réveilla sûrement quelques jours plus tard, sous les hurlements inquiet de son compagnon de cellule, qui insistait sur le fait qu'il avait quelque chose au dessus de la tête, comme les anges. Une auréole. Après quelques jours à comprendre ce qu'il était et pourquoi, un homme était venu me donner une explication. Alors il aurait un pouvoir affilié a la lumière ? Il ne cru pas un mot de leurs conneries. Ce sont que des bourreaux qui cherchent une excuse. Ce qui semblait être le soir de ce jour ci, la cage de son compagnon de cellule s’ouvrit, et l’homme l’emmena sur la table d’opération. Se défaisant de sa position favorite, Donovan devait agir. Il en avait marre. Ses yeux verrouillés sur les barreaux qui constituaient sa prison, il priait pour que cette sorte de magie lumineuse marche. D’une façon inexplicable, la lumière qui éclairait la table se détourna sur les barreaux et exerça une chaleur qui consuma les barreaux en une trentaines de secondes. Les dents serrés, la peur gagnant son corps, le garçon s'élança en direction des docteurs, les poussa d’un coup de pied pour récupérer son ami et s’écarta du groupe de docteur, en particulier ceux avec les seringues.

Mais ce qu’il craignait arriva. Un groupe de médecin, ceux avec les seringues, s’approchèrent lentement, la seringue tenu d’une main ferme, et c’était pas pour une simple piqûre, c’était pour attaquer. Le garçon se sentait mal, il se sentait compressé, attaqué, menacé.. il désirerait tellement pouvoir protéger son ami,son compagnon. Les pas des médecins se faisaient de plus en plus bruyants, et ce fut trop. Un d’eux lança une seringue sur son compagnon, qui poussa un cri. Le garçon voulait crier, mais la peur l’en empêchait. L’envie de protéger passa avant le reste et, dans un énorme craquement, des ailes se déployèrent de son dos, tandis que la lumière vint s’installer tout autour du garçon, formant un bouclier.

- Ne touchez pas à un seul cheveu de mon ami.

Donovan se dirigea vers la sortie accompagné de près par son amis, visiblement, ses “créateurs” n’osaient pas le suivre. Une fois sortis, Donovan levait les yeux au ciel pour découvrir, où plutôt redécouvrir, la nature. Quand il se retourna, son ami avait disparu. Ou plutôt, il avait fui. On pouvait encore le voir partir au loin, fuyant ce qu’il prétextait être son ami. Il avait été trahit. Mais au moins, Donovan sait à quoi s’en tenir désormais. Le garçon sourit et ses ailes se rangèrent. Il était libre. Libre, mais seul. L’homme se mit à marcher, encore et encore, jusqu’à arriver dans une forêt. C’est là que Donovan se rendit compte qu’il n’avait plus aucun souvenir d’où il était parti. De ce qu’il s’était réellement passé. Que des impressions. D’une histoire a propos d’anges, et qu’il en était un. Quoiqu’il en soit, il continuait de marcher. Il était comme aimanté par cette endroit, mais il ne savait pas lequel. Il s’arrêta presque frénétiquement devant ce manoir. Il se sentait comme attiré par ce..pensionnat.



Écris ici l'histoire de ton personnage ! Son ancien niveau social, ce qui lui est arrivé avant de se faire interner dans le laboratoire, comment il a vécu les expériences, avec qui il était, son retour à la vie normale, comment il a découvert Shinsekai... Minimum 12 lignes !

► Prénom : Appelle moi juste Aruma c:

► Âge : 15

► Sexe : Boy C:

► Comment as-tu découvert le forum ? FLOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUSH ?

► Qu'est-ce qui pourrait améliorer le forum ? Perso je trouve la barre du "profil, groupe, connexion, inscription" tout ça un peux galère, mais c'est de l'habitude je pense, sinon jsp tout est bien

► D'où vient ton personnage ? Bah en fait, je sais pas, mais j'ai le lien, si ça peut aider http://www.zerochan.net/1956545

► Phrase code :

► Un commentaire ? Pas vraiment.
► Un double-compte ? Non

Merci pour tout !